Les vacances, c'est le camping

Depuis l'hôtel de la Poste à Pontresina dans les Grisons, Bonjour! Super lenteur de l'ordinateur que j'ai trouvé dans cet hôtel. L'internet corner de mon camping n'a pas de slot usb...
On va faire court et précis dans les posts de cette semaine.
Pris la route dimanche pour 4oo kilomètres avec paquetage digne d'un déménagement. Et Achille Broque le chat dans le coffre également.

Arrivée pour la grosse surprise de la journée pour les filles en prenant le train avec la voiture à Vereina, près de Klosters.

Descente de l'autre coté de la montagne à Zernez, plus que 40 kilomètres.

Emplacement magnifique semi sauvage dans le camping aux milles ruisseaux de Pontresina. Le chat découvre sa semaine d'horreur...

L'ambiance est encore au beau fixe et simplement parfaite... Quelques heures après c'est l'orage et donc deux personnes de plus dans notre tente, un chat trempé de sa ballade et une belle pisse de ce dernier sur le matelas, duvet etc... Il est une heure du mât'...

Nous décidons néanmoins de rester. A demain!

(Les liens etc seront mis en rentrant cause prix de la demie heure Internet.)

Ils ont des chapeaux ronds, vive les bretons

De retour d'une semaine bretonne. Partie lundi en matinée en tchou tchou depuis Lausanne, je passe par Paris pour le changement de train et donc gare, par une moiteur et chaleur excessive. La température en arrivant à Lamballe dans les Côtes d'Armor est beaucoup plus adaptée aux activités journalières qu'en Suisse.
Nous partons en tout grand commité pour une baignade tardive et dînons donc comme à l'habitude familiale vers les 22 heures.

Les prochains jours se déroulent paisiblements entre promenades, pêche aux crabes et autres crustacés marins; la marée monte et redescend. Une grande partie de la famille étant présente à Erquy ( Marie-Agnès, Aurélie, Marcel, Amaury, Anne, Inès, Zélie, moi même), nous passons des jours aux grandes attablées familiales et autres promenades sympathiques.

plage de Caroual, marée montante

une étrille dans les filets de marie-Agnès

Une deuxième étrille avec une pince manquante

Jeudi nous nous décidons pour la maintenant classique et incontournable visite de la cité des corsaires, Saint-Malo. Super picnic en dehors des remparts avant un tour de ville. Pour finir la journée nous nous baignons dans l'anse de Rothéneuf à quelques kilomètres de là et prenons un verre de cidre à même le sable en guise d'apéritif.

Bonne soupe de poissons en rentrant à la maison et dernière nuit avant le retour en Suisse.

J'écarquille sur le monde la lueur de mes prunelles.

Le titre de ce post se réfère à Cyril et Audrey qui sont depuis cette nuit papa et maman. Tous nos voeux de bonheur à la petite Camille...
Pour nous le week-end fut moins éprouvant peut-être mais à nos yeux assez important. Nous sommes montés à Saas-Fee pour mettre au point les derniers paramètres de notre mariage.
A l'arrivée sur la terrasse du restaurant le Fletshhorn, Monsieur Couchepin en personne dégustait son repas; je ne me souviens juste pas bien du moment ou nous l'avons invité celui-là...

Bref, un café et un thé plus tard nous prenons nos vtt pour aller découvrir un peu mieux les hauteurs du village et quelques lieux clés où nous aimerions ammener nos invités. Petite halte dans un champ (chant) de criquets qui se frottent les pates arrières tout en se dorant au soleil.


Le soir, de retour au restaurant nous dégustons le repas et les vins prévus pour le jour J, après avoir découvert la magnifique cave au 30 milles bouteilles, dont un Yquem '86 de 600 cl à 12'200 francs. Nous décidons tout de même de ne pas faire ouvrir cette bouteille car le calcul en années vaisselle redevables nous tourne la tête.
En fin de repas, après quelques 4 heures de table nous recevons de notre hôte deux edelweiss de son jardin privé en guise de 'good luck charm'. Très touchés par la gentillesse et la qualité de l'accueil que l'équipe nous a réservé, nous prenons congé d'eux pour aller faire de beaux rêves sous des couettes moelleuses.

Le lendemain dimanche le temps est au beau fixe et après une promenade digestive (dix heures après...) et quelques photos nous rejoignons notre véhicule rangé pour le week-end au parking, car Saas Fee est piéton.

Notre intelligence impressionante nous a fait éviter le coup du vélo sur le toit versus entrée de parking trop basse et nous rentrons tranquillement à la maison où monsieur Broque nous accueuille en miaulant l'abandon de sa personne pendant 32 heures.

L'Allalin dans toute sa splendeur estivale.

Au soleil d'une île fleurie

Aux premières heures des vacances d'été, déjà le temps est magnifique, la soirée douce... Petit égarement chromatique vers l'ouest, jolies lueurs d'un ciel d'été. Demain départ pour un week-end à Saas Fee, on vous en dira des nouvelles. Bonne nuit les ouistitis!

Un peu d'eau et le temps change

Selon certain une journée caniculaire, pour moi, la tête sous l'eau et le sourire au lèvres que de fraîcheur. L'avantage de l'appartement du bord de lac réside en une simple chose. Tu mets ton maillot, tu prends l'ascenseur, tu débarques sur les quais, tu poses ton linge, tu plonges... Et en sens inverse pour rentrer.

Un kilomètre et demi de brassage de lac entre Vevey-Tour-de-Peilz-Vevey. Fond sous-lacustre parsemé d'algues, de pipelines suspects mais pas d'objets non identifiés... (sous entendu, cadavres.)

Un peu de pain et de chaleur

Comme promis oralement et pour décrire le grand contraste entre mon repas et ceux de quelqu'un que je connais, ci dessous les ingrédients et la préparation détaillée d'un repas d'adultes après une semaine sans courses. (la bière d'hier mise à part.)

Peler les pommes de terre nouvelles qui commencent à vieillir au fond du bac à frigo. Bien rincer, couper en quarts et mettre à bouillir avec peu de sel.
Puis laver les tomates qui ont eu le temps de beaucoup trop mûrir et enlever toutes parties de couleur et odeur suspèctes. Les débiter. Préparer une vinaigrette et y mettre ce qui reste des tomates.
Entre temps, égouter les patatines et les poivrer largement. Mettre le tout sur une assiette et nommer le contenu de cette dernière d'un nom sublime style:
''Chaud-Froid de petites Tubercules de saison et Pommes d'Or, servi sur son lit de Vinaigrette au concassé de Poivre de Séchuan. ''

Bon appétit...

Vide-nous ce verre et nous le remplirons

J'ai dit une fois pendant le mondial que je n'étais pas maso, alors ce que je vais décrire ci-dessous on va le mettre sur le compte du façonnage de moral..
Après avoir eu une chouette journée productive au boulot, (il faut se le dire des fois) je me suis demandée pourquoi je devais attendre la fraîcheur éventuelle du soir pour faire mon tit tour de course à pied... (Commencé à sept heures alors forcément fini à trois heures.)
Me voilà donc partie par 33 degrés pour une heure 3 minutes de traversée de bitume collant, suintant, renvoyant toute la chaleur emmagasinée depuis le levé de soleil sur mes pauvres guiboles. Une fois arrivée à la maison, me dit que bonne chose de faite tout de même.

Place à deux trois formalités style se doucher faire des courses en parquant la voiture dans un souterrain non ventilé et surtout acheter le Pack de bière sans alcool. Pour ceux qui ne le savent pas, ce qui doit être quasi impossible, mon futur mari se réserve un mois et demi par an de régénération hépatique. Je ne connais pas le fin fond médical de ses propos mais je comprends très bien qu'avant une course cela ne peut être que bénéfique.


Repas pris sur le balcon avec ce vrai faux élixir de houblon. Au salon en arrière plan le journal de vingt heures sur tf1 nous parle de la canicule en France et relate l'histoire d'un jeune homme admis aux urgences en parfaite santé pourtant mais qui avait entrepris de faire un footing en plein soleil...

Combien de murs...

Le but ce matin en partant de la maison était de faire le Tour du Mont Fort en vtt au départ de Verbier. Les victuailles étaient achetées en conséquence... barres, fruits secs, poudre à perlimpinpin, crème dépilatoire pour Jacques... (tout n'est pas à usiter en même temps).
Juste que Stèph, après une heure 17, ben elle en avait marre. Il y a des jours comme ça où on a pas envie et on fait surtout pas l'effort de continuer. Je me dis que je m'offre le luxe d'arrêter, mais je dois assumer après de pas être allée au bout des choses. Bon, je décide que je vivrai avec cette fois.

Alors la suite du programme fût improvisé et des fois, ce n'est pas plus mal. Après un bout de descente sur Verbier nous sommes tombés sur ''l'Alpe en fête'' sur l'alpage des Grands-Plans. Au programme pour les hommes ce jour là: Election de Miss Alp 2006 (euh...génisses).

Aux allentours quelques espèces à quatres pattes souffraient autant de la chaleur que nous autres humains: Un chouette Saint Bernard s'étant au préalable rafraîchit dans une fontaine joliment fleurie ,

Deux chiens des villes rencontrants leur compagnons des champs, le dépaysement était complet.

Etonnament, les produits du terroir ne fondaient pas sur place... Après avoir mangé une grillade de boeuf pour l'un, pour l'autre une de porc avec un accompagnement de salades de carottes, pommes de terre et aussi une de haricots verts, nous redescendons rassasiés vers la voiture fournaise.

Les bagnards eux nous regardent d'un oeil de travers

Puis, merveilleuse idée, visitons donc le vrai Val de Bagnes, celui qui commence où le côté clinquant chiccos frime de Verbier s'arrête abruptement.

Et là, tout au fond du Val, quand on ne peut plus continuer qu'à pied, nous stoppons net, le nez contre le mur de 250 mètres du barrage de Mauvoisin. Impressionante construction datant des années 50 réhaussée de quelques dizaines de mètres dans les annés huitante, nous voilà au but de notre périple du jour.

Nous enfourchons néanmoins nos machines de guerre pour aller voir un peu ce qui se passe du côté du lac de rétention. L'eau de fonte s'y précipite avec une force qui nous rend sourds. Nous faisons demi-tour après un moment avec la ferme intention de revenir une fois avec nos souliers de marche, ou, le cas échéant avec les vtt en faisant le tour du lac sur l'autre rive pour monter à la cabane de Chanrion.

Très chaud retour en plaine où la température est de 32 degrés.

cabane de Chanrion

T'es pas cap Pinocchio

Soirée à l'Atelier Volet , entreprise de charpente qui fête ses 25 ans et où nous sommes invités à passer un moment des festivités. Speech, boissons, repas, musique, et l'inauguration du plus grand pinocchio du monde, un maous de 13,7 mètres et pesant quelques neufs tonnes 340... Pas évident de se rendre compte de la taille, mais en passant sur l'autoroute de Vevey-Saint-Légier vous pourrez admirer ce qui se veut être la nouvelle mascotte de Saint-Légier.

photo prise avec le téléphone

Allez, maintenant un petit plongeon au lac pour finir cette journée torride par un moment raffraîchissant. Semaine de travail finie en beauté et les loulous au bord de la mer en Bretagne par un petit 21 degrés se portent bien aussi.

Mimi l'ennui

C'est bien joli de pas avoir les filles à la maison; ça va le premier jour parce que tu te dis que tu as un peu plus de liberté et que toi même à occuper... mais déjà dès le deuxième jour j'ai l'ennui. Après le boulot, quand tu rentres tu te dis que tu as le loisir de faire tout ce que tu veux, et finalement, tu ne fais rien. Quand il y a du monde dans la vie de famille de tous les jours tu râles que ''faut tout organiser'' et que t'as pas un moment pour toi; quand la pression tombe, la fatigue accumulée se fait ressentir et tu te sens toute raplapla.
A peine rentrée chez toi les bonnes résolutions s'auto remisent et puis y a rien qui se passe. Même le chat est las.

Je pourrai aller faire une promenade, du vélo, un tour au bord du lac, des courses pour faire un dîner en amoureux, boire un truc sur une terrasse, lire un magazine noeud noeud, voir un film mélonul à l'américaine, faire le repassage, aller chercher le recommandé à la poste... Mais rien, suis seule ici et le mouvement, l'éffervesence qui m'est parfois un peu trop, ben ça me manque. Alors la soirée je vais un peu la subir, et demain faire un effort...

Petite Mad'moiselle

Un aller-retour en avion pour ammener les filles chez leurs grands-parents hollandais. Pas toujours évident par contre de quitter sa maman... les puces ont reçu chacune une magnifique robe de princesse ramenées de Turquie par Marie-Agnès à l'occasion d'un voyage récent. Elles sont photographiées dans le jardin à Haarlem.

Vol aller Genève-Amsterdam à 6 heures 30, vol retour Amsterdam-Genève le même jour à 20 heures 45. Heures réelles de départ et arrivée: levée à 4 heures moins le quart, couchée à 1 heure 5.

Edelweiss, Edelweiss. Fleur de neige ou de ciel

Jolie promenade dans le jardin de la Thomasia à Pont de Nant au dessus de Bex. Cet espace botanique se situe aux pieds des Muverans, point de départ du tour du même nom. Bizarre par contre que ce lieu soit infesté de mouches plutôt 'collantes'... pas la peine de manger un yaourt, le croquant sous la dent et les pates encore mouvantes ne plaisant à aucun d'entre nous.

Edelweiss des Appenins

Puis, baignade en plaine dans ce que nous appelons 'la Gouille de Saint Tryphon'. les Barbecues du dimanche y sont les uns plus appétissants que les autres, à l'image de ce mini porcinet, qui n'avait apparemment que la peau sur les os...

Chez Max, coiffeur pour hommes

Que se passe t'il quand un homme, d'habitude tondu avec soin par sa compagne, se met en tête de prendre lui-même la tâche en main... Car il faut le dire, à la maison, il n'y en a pas qu'une qui veut du 'maintenant, tout de suite, après c'est plus la peine!' Après s'être enfermé un moment dans la salle de bains,


Voici qu'il ressort, fière du résultat. C'était sans compter s'être vu l'arrière du crâne avec la technique du double miroir. Je vous commente la coupe: tonte uniforme au 6 mm, puis léger débroussaillage de la nuque...

Parlez-moi de la pluie et non pas du beau temps

Si belle fut la journée, si terrible l'orage du soir. Il est 22 heures 59. Juste une impression sur fausse péllicule d'un lac qui se transforme aussi vite que l'éclair. Nombreux sont les loups de mer qui pensent que le lac est synonyme de plaisance sur fond limpide. Ce ciel qui demeure le pire ennemi de tout embarcation peut se transformer d'une minute à l'autre en une colère noire sans aucun signe annonciateur.

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Quand la faim se fait tenace, faria, faria, ho!

Zélie est partie se baigner un brin aux ''bains des dames''. Puis, un peu fatiguée, sur sa chaise pliable bien installée, elle a mangé deux cuisses de poulet toutes grillées. Son carosse à l'arrière plan attend...
Elle rentrera avec car, lassée, repue après son festin personnalisé sur son trône à sa taille adapté, mademoiselle devra parcourir au moins 200 mètres sur les quais longeant le lac pour rejoindre sa demeure...

Quand on partait de bon matin...

Désireux de fuire la canicule annoncée en plaine nous sommes partis de bon matin, nous sommes partis sur les chemins... à bicyclette.
Après notre départ de Vevey, merci à Jean-Blaise pour la crème solaire et les Euros, nous avons franchi au kilomètre et quelque la douane française à St-Gingolph devant des douaniers visiblement encore émus de la victoire de Zizou et les siens sur le Brésil.

Arrivés à Lugrin, haut-lieu du tourisme agro-alimentaire pour les Suisses, nous attaquons notre première montée en direction du plateau de Vinzier. Descente ensuite sur Bernex p0ur atteindre la vallée d'Abondance .
Jolie petite vallée de la Haute-Savoie que nous avons montée à la force des mollets, en passant par Abondance, Chapelle d'Abondance et Châtel jusqu'au "toit" de notre périple : le pas de Morgins à 1382m'.
La photo témoin qui devait immortaliser notre passage à ce col à été prise par une gentille demoiselle quelque peu lacunaire au niveau des connaissances du cadrage...

Sans avoir la prétention de vouloir rivaliser avec une étape du Tour, notre petite "ballade" aura quand même duré près de 06h25, pour 140 km et 1350m' d'ascension. Ce qui est fort correct pour les amateurs illuminés que nous sommes.

Loin des vains bruits de la plaine, l'âme en paix est plus sereine

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